Auto école de confiance

De plus, pour obtenir le statut « MAIF Confiance », les auto-écoles doivent répondre à ces deux autres critères : présenter plus de 50 candidats par an au permis de conduire et obtenir un taux de réussite supérieur de 2% par rapport à la moyenne du département. MAIF Confiance: ce critère permet d'afficher les auto-écoles estampillées « MAIF Confiance » (voir Qu'est-ce qu'une auto-école avec le statut « MAIF Confiance ») situées à proximité. Qu'est-ce qu'une auto-école avec le statut « MAIF Confiance »? Quels sont les critères et méthodes de classement retenus par l'annuaire auto-école MAIF? Le taux de réussite officiels fournis chaque année par le Ministère de l’Intérieur pour l’année antérieure est également un critère de référencement pris en compte sur l’annuaire des auto-écoles. Taux de réussite: ce critère permet de trier les auto-écoles situées à proximité (voir ci-dessus) en fonction du taux de réussite de leurs élèves à l’examen pratique du permis de conduire (épreuve de conduite), toutes présentations confondues. Sujettes aux contingents d'inspecteurs disponibles, les préfectures accordent les quelques créneaux aux auto-écoles en fonction de leurs taux de réussite, ce qui pousse celles-ci à ne pas « pousser » trop de candidats à la fois. « Et si un bouchon apparaît au niveau de leur école, tous les candidats sont obligés de reprendre des heures de conduite, pour ne pas perdre leurs habitudes au volant », ajoute un de collaborateur.

Ce label garantie une transparence dans les informations communiquées aux élèves, leur protection en cas de défaillance de l’établissement, ainsi que la mise en place et le respect de procédures tout au long de la formation. En cas de raté une autre date est très vite proposé. Alors que les discussions vont bon train pour savoir comment les élèves retrouveront le chemin des salles de classe dans un peu plus d’un mois, la date de reprise des cours de conduite est encore à préciser. D'autre part il semble que les responsables de l'entreprise intègrent dans leur recherche la réalité nouvelle que constitue le développement de l'enseignement professionnel par l'Etat. Face à ce qu'ils tiennent pour de la concurrence déloyale et de la publicité mensongère de la part de Marianne Formation et sa marque Ornikar, deux syndicats professionnels, le CNPA et l'Unidec, ont saisi le tribunal de commerce de Paris en novembre.